Pollution de l'environnement: types, histoire, conséquences
La pollution de l'environnement est la détérioration des conditions normales subies par l'environnement, dues à diverses raisons et situations, allant des agents chimiques, physiques ou biologiques, à la négligence et à l'irresponsabilité. Cela provoque un impact défavorable déséquilibrant l'état naturel de l'environnement et qui n'est pas toujours réversible.
Les principaux types de pollution environnementale sont l’atmosphère, l’eau, le sol, les ordures ménagères, la lumière, les phénomènes thermiques, visuels, électromagnétiques et anthropiques.
En raison des effets de la pollution sur la santé et la nature, il est très important d’être conscient et d’adopter des comportements responsables et éthiques qui aident à préserver la planète, car c’est le seul endroit où nous devons vivre.
Histoire de la pollution
La pollution fait partie de nos vies depuis le plus jeune âge. Par exemple, l’un des éléments estimés à l’origine du processus polluant a été la découverte du feu par nos ancêtres.
La découverte de l’incendie représentait un grand progrès, entre autres choses, car elle permettait de cuire les aliments avant de les ingérer, d’allonger leur temps de stockage et de favoriser une digestion plus rapide et une meilleure absorption des nutriments, ce qui finit par affecter une évolution plus rapide.
L’aspect suivant a trait au changement de la dynamique de l’homme, qui a commencé à être plus sédentaire. Cela impliquait que l'impact qu'il avait sur l'environnement dans lequel il vivait était plus important, de sorte que son empreinte dans l'écosystème a commencé à être évidente.
Plus tard, aux XIIe et XIIIe siècles, le charbon a commencé à être utilisé plus largement, à la suite d'une augmentation de la demande que le bois ne pouvait plus satisfaire. Au cours du dix-huitième siècle, la révolution industrielle a commencé dans plusieurs pays européens, ce qui a entraîné une expansion considérable des polluants.
Les guerres et conflits mondiaux, en particulier la Seconde Guerre mondiale, ont accentué l'impact de l'homme sur l'environnement. De même, la création d’industries de différentes branches s’est rapidement traduite par une élimination inadéquate des déchets qui étaient jusqu’à présent produits à grande échelle.
Types de pollution de l'environnement
Pollution de l'air
Il est produit dans l'air par l'émission de substances polluantes qui raréfient et altèrent sa composition chimique. Cela signifie que l'air respiré par les plantes, les animaux et les êtres humains n'a pas la qualité requise.
Les principales causes de pollution de l'eau sont les gaz rejetés par le bétail - le méthane -, en particulier par les vaches. En fait, ils sont les principales causes du réchauffement climatique. Il est évident que la responsabilité incombe à l'homme, qui ne contrôle pas la consommation de viande ou sa production.
Un autre des gaz les plus polluants dans l’atmosphère est le dioxyde de carbone émis par les automobiles lors de la combustion de leurs moteurs, ainsi que les gaz qui sont expulsés des cheminées des industries au cours de leurs processus de fabrication.
Selon les produits, ces gaz peuvent être très polluants et dangereux pour la santé. Il existe également des polluants naturels dans l'atmosphère, tels que la poussière et les particules que les volcans émettent lors de l'éruption.
Pollution de l'eau
Il fait référence à la contamination de l'eau, qu'elle provienne de lacs, de rivières, de mers ou d'eau qui atteint les maisons et les usines par le biais du système de canalisations. Dans ce dernier cas, l’eau contaminée résulte d’un mauvais traitement pour la rendre potable.
La pollution des rivières et des mers est due à de nombreuses causes allant des déversements de carburant des navires à la négligence d'individus et d'entreprises qui déversent des déchets sur les bords, en passant par des déchets non biodégradables tels que le plastique ou des eaux usées (eaux grises). et noir).
Les principales causes de pollution de l'eau sont les déchets industriels.
En règle générale, de nombreuses grandes industries ne disposent pas de politiques respectueuses de l'environnement et rejettent des composants dangereux dans les masses d'eau, ce qui affecte considérablement l'écosystème de chaque région.
Pollution du sol
La terre est également très susceptible d'être contaminée. Certaines des causes sont également les ordures et ses grandes décharges où il se décompose lentement et se filtre en couches plus profondes, mais surtout les engrais chimiques appliqués aux cultures et aux plantations.
Les herbicides qui détruisent les plantes nuisibles aux cultures détruisent également les insectes et modifient le pH du sol. Ceci à long terme lui fait perdre son potentiel et sa fertilité.
En conséquence de cet effet, des sols acides sont générés. Cela signifie que le sol est affecté par les acides chlorhydrique et sulfurique présents dans les engrais chimiques et, par conséquent, par la détérioration du sol et la perte de micro-organismes.
Pollution par les ordures
La croissance de la population mondiale est la principale cause de pollution, en particulier de celle générée par la production de déchets non biodégradables.
Le plastique, le PET, l'aluminium et les matériaux synthétiques, qui mettent plusieurs années à se dégrader, génèrent des tonnes de déchets qui contaminent le sol, l'eau et l'air.
On sait que le plastique est l’un des polluants les plus agressifs et la pollution provenant de cet élément a considérablement augmenté. La facilité de production du plastique, en termes de délais et de prix, en fait un produit très attractif pour de nombreuses industries.
Malheureusement, la plupart des plastiques actuellement consommés sont à usage unique (ils ne sont utilisés que quelques fois) et se retrouvent sur les côtes, affectant fortement la faune locale.
A ce problème, il faut ajouter un autre plus récent, causé par la génération de rebuts électroniques. Cela concerne tous les appareils tels que les téléviseurs, les ordinateurs et les téléphones portables devenus obsolètes, ainsi que leurs composants, en particulier les batteries très polluantes et nécessitant une mise au rebut spéciale, ce que tous les pays ne sont pas disposés à faire. .
D'autre part, l'espace est également rempli de déchets avec toutes les fusées, satellites ou engins spatiaux qui restent en orbite une fois qu'ils ont rempli leurs fonctions ou qui ont subi des dommages irréparables.
Contamination radioactive
C’est celui qui provient des centrales nucléaires, des bombes ou des essais de missiles nucléaires, ainsi que de la libération de xénon lors du retraitement du combustible nucléaire.
En général, les principales sources de ce type de contamination sont les déchets radioactifs de différentes pratiques industrielles.
L'un des plus remarquables provient des centrales nucléaires, soumises à des aspects juridiques limitant les quantités de déchets générés. Cependant, même une quantité minime de ces déchets radioactifs est fatale pour l'environnement à long terme.
Ce type de pollution comprend également le rayonnement cosmique, produit par le détachement de particules subatomiques dans l’espace extra-atmosphérique qui pénètrent dans l’atmosphère à une vitesse élevée et avec une charge radioactive élevée.
Dans une moindre mesure, l'exposition aux rayons X peut également être qualifiée d'élément de contamination radioactive.
La pollution sonore
Il est produit par des sons qui dépassent les décibels admis par l'être humain. C'est quand le son devient bruit, ce qui en plus d'être ennuyeux peut être nocif pour la santé.
Les grandes villes sont pleines du bruit auquel ses habitants se sont habitués: moteurs de voitures, avions et industries, musique et gens qui parlent ...
Ces bruits de tous les jours sont très nocifs pour l'homme, et diverses études scientifiques ont confirmé les dégâts considérables qu'ils causent et l'importance de les tenir à distance.
Par exemple, dans la communauté européenne, une législation oblige les communautés de plus de 2500 habitants à indiquer les zones les plus bruyantes de cet espace.
Pollution visuelle
C'est tout ce qui interrompt de façon abrupte ou exagérée la vision de l'horizon. C'est un cas typique des grandes villes et des centres peuplés.
Qu'il s'agisse de grands bâtiments, de tours électriques, d'antennes et de câbles, de graffitis ou de publicités sur les voies publiques, ils sont considérés comme des agents de contamination visuelle.
Les grandes accumulations de déchets sont également considérées comme des sources de contamination visuelle.
D'une part, ils influencent directement le paysage, le détériorant et générant un malaise chez ceux qui y vivent; De plus, cette agglomération empêche le tourisme de se développer de manière optimale.
D'autre part, les déchets accumulés génèrent des problèmes de santé, ils deviennent un foyer de saletés et de maladies infectieuses pouvant être graves pour la population.
Contamination lumineuse
Également typiques des villes, produites par l'excès de lumière artificielle, ce qui empêche l'observation claire du ciel et des étoiles. Les enseignes lumineuses dans les rues, les lampes à éclats, les néons ou les luminaires publics très puissants sont considérés comme des agents de pollution lumineuse.
La lumière non dirigée implique de manière optimale une diminution de la qualité de vie des personnes car elle devient un élément envahissant de leur vie privée et de leur espace personnel.
Un autre élément très dangereux est ce qu'on appelle l'éblouissement, défini comme l'éblouissement que les personnes peuvent subir sur les routes publiques en raison de la forte lumière artificielle générée par les installations électriques.
En plus des effets nocifs sur la santé, l'éblouissement peut générer des accidents de la route pouvant être fatals.
La plupart des grandes villes ont des paramètres pour mesurer l'intensité de la lumière autorisée dans les espaces publics.
Pollution thermique
Elle est causée par des changements considérables de la température de l'eau ou de l'environnement, susceptibles d'affecter les écosystèmes et l'équilibre de la nature. Par exemple, les eaux industrielles traitées et rejetées dans des rivières ou des canaux ont généralement une température supérieure à la température naturelle.
Si de nombreuses industries s'installent au bord de la rivière, l'eau augmentera la température et pourrait entraîner la mort ou la migration d'espèces vers des eaux plus froides.
Par exemple, les centrales nucléaires ou thermoélectriques sont l’une des principales sources de pollution thermique. Dans le cadre de leurs fonctions, ces industries produisent de la chaleur qui s’atténue du fait de sa proximité avec les étendues d’eau.
Cette répartition de la chaleur dans l'environnement génère une augmentation générale de la température qui affecte directement les écosystèmes de la région. Il est à noter que la pollution thermique est générée non seulement en cas d'augmentation de la température, mais également en cas de diminution.
C'est le cas des installations de regazéification du gaz naturel. Dans ce cas, l'eau utilisée pour ce processus est refroidie à des niveaux considérables et est renvoyée dans l'écosystème avec cette nouvelle température, qui affecte également la dynamique de l'environnement.
Pollution électromagnétique
C'est l'augmentation du rayonnement électromagnétique due à la croissance démographique qui nécessite une plus grande production d'énergie artificielle (électricité).
Cela se traduit par une augmentation de la production d'équipements électroniques, d'antennes, de tours à haute tension, de transformateurs, de téléphones cellulaires, d'ordinateurs et d'autres appareils électroniques. Cela entraîne un risque d'incendie ou de choc électrique pour les personnes ou les animaux.
Les antennes téléphoniques sont parmi les principales sources de pollution électromagnétique. Ce sont des éléments qui font partie de notre vie quotidienne. même, de plus en plus de gens ont un téléphone portable.
Cependant, les effets des antennes téléphoniques sur les personnes sont considérables. Plusieurs études ont été menées et, bien que toutes ne coïncident pas, certaines ont même établi un lien entre l'apparition d'un cancer et l'exposition constante à ce type de contamination.
Pollution anthropique
Ce terme englobe toutes les pollutions causées par l'activité humaine, que ce soit par les émissions d'industries et de logements ou d'objets mobiles tels que les voitures, les bateaux, les trains, les avions, etc.
Cela inclut également la pollution générée accidentellement par l'homme. Par exemple, les déversements d'hydrocarbures ou les accidents survenant dans les centrales nucléaires sont considérés comme des sources de contamination anthropique.
La plupart des gaz polluants et leurs effets
Dioxyde de soufre
Ce gaz pénètre dans l'atmosphère à la suite de la combustion et du traitement des combustibles. Lorsque ce processus se produit, les petites particules de dioxyde de soufre laissées dans l'environnement atteignent le sol par les précipitations.
En entrant dans les sols, le dioxyde de soufre participe activement à la soi-disant acidification de ceux-ci, affectant fortement l'écosystème.
De même, les particules de dioxyde de soufre peuvent pénétrer dans l'organisme par les voies respiratoires. Une fois libéré dans l'environnement, ce gaz peut y rester environ 5 jours, ce qui implique de nombreuses possibilités de propagation.
Effets sur la santé
-Le dioxyde de soufre peut endommager le champ visuel, affecter la cornée et provoquer une irritation.
-Les voies respiratoires peuvent être enflammées.
- Un œdème pulmonaire peut être généré.
-Éventuellement, l'exposition à ce gaz peut générer un collapsus circulatoire et, en fin de compte, un arrêt respiratoire.
Effets sur l'environnement
Au contact de l'humidité de l'environnement, le dioxyde de soufre génère des acides sulfureux et sulfuriques, qui provoquent des pluies acides qui affectent le sol, augmentent son niveau d'acidité et affectent les micro-organismes qui y vivent.
Effets sur le réchauffement climatique
Dans ce cas, l’effet de la pollution par le dioxyde de soufre a eu un effet favorable sur la réduction des niveaux associés au réchauffement planétaire.
Des études réalisées au cours de la première décennie des années 2000 ont montré que l’effet de refroidissement de ce gaz dans l’atmosphère avait une influence positive sur le refroidissement de l’atmosphère.
L'ammoniac
Ce gaz est fondamental pour de nombreux processus de la nature. Il est produit à la suite de la décomposition de la matière organique et les plantes l’absorbent pour l’utiliser dans divers processus.
Les sources humaines d'ammoniac comprennent notamment les usines de traitement des plastiques et des textiles, ainsi que les industries qui produisent des détergents domestiques, des réfrigérants et même des produits alimentaires.
Cependant, il a été déterminé qu'un excès de ce gaz peut être très nocif pour les personnes, même en provoquant des intoxications et des conditions très graves.
Effets sur la santé
-Il s'agit d'un gaz hautement corrosif, qui agit sur les yeux, la peau et les poumons.
-Si ingéré peut affecter fortement le système digestif et provoquer des brûlures dans la gorge.
-Dans la peau, il génère des brûlures, des cloques et une irritation grave.
-En conséquence de l'abrasion généralisée, lorsque le gaz est inhalé, des brûlures se produisent au niveau des voies respiratoires et de la gorge. Cela peut également affecter fortement les poumons et même les désactiver complètement.
Effets sur l'environnement
Comme mentionné ci-dessus, l'ammoniac est un gaz naturellement produit dans la nature et son état le rend facilement biodégradable.
Cependant, il a été déterminé qu'un taux élevé d'ammoniac dans l'eau et dans l'air peut avoir un effet néfaste sur l'écosystème, car il réduit la qualité de ces deux éléments et entrave la dynamique des organismes qui l'habitent.
De plus, il influence directement l'acidification des sols et il est possible qu'il engendre une fertilisation excessive, ce qui entraîne des déséquilibres dans l'écosystème.
Effets sur le réchauffement climatique
L'ammoniac est considéré comme un effet du réchauffement climatique. En raison de la hausse croissante des températures, l’ammoniac est plus présent et affecte tous les habitants de la planète.
Selon une étude publiée dans la revue scientifique Philosophical Transactions de la Royal Society B. en 2013, l'une des conséquences les plus importantes du réchauffement planétaire est la formation excessive d'ammoniac, qui conduit à une plus grande acidification des sols et à des conditions environnementales pires.
Oxydes d'azote
Les oxydes d'azote comprennent le dioxyde d'azote et l'oxyde nitrique. Ceux-ci sont incorporés dans l'atmosphère à la suite de la combustion de carburant. Les automobiles et de nombreuses industries de différents secteurs favorisent la production de ce gaz dangereux.
Effets sur la santé
- En cas d'inhalation, les oxydes d'azote peuvent générer une irritation des voies respiratoires, des poumons et de la gorge.
-Si la période d'inhalation est longue, des brûlures peuvent se produire dans la gorge et les voies respiratoires, ce qui implique moins d'oxygène dans les tissus du corps et, éventuellement, une production de liquide dans la région des poumons.
-Les yeux peuvent également être sérieusement affectés par l'exposition directe, générant de graves brûlures.
Effets sur l'environnement
Lorsque les oxydes d'azote entrent en contact avec l'atmosphère, ils se dégradent et de l'acide nitrique est généré, l'une des principales causes des soi-disant pluies acides.
De plus, il a été déterminé que ces oxydes ont une participation particulière dans la formation de smog présent dans l'air.
Ces oxydes jouent également un rôle de premier plan dans l’acidification des sols et ont un effet défavorable sur la flore en limitant la croissance des plantes.
Effets sur le réchauffement climatique
L'oxyde nitreux, qui fait partie des oxydes d'azote, est considéré comme un gaz qui produit l'effet de serre.
Des études menées par l'organisation internationale Oceana ont montré que ce gaz est beaucoup plus nocif que le dioxyde de carbone, mais qu'il est actuellement dans des proportions beaucoup plus petites que le premier.
Conséquences
Selon une étude publiée par l'institut allemand Max Planck, 4, 5 millions de personnes sont décédées subitement des suites de la pollution en 2015, parmi lesquelles de nombreux enfants et personnes âgées.
Cette étude a en particulier étudié la pollution atmosphérique, laissant de côté les autres types de pollution rencontrés sur la planète.
Cela implique que le chiffre global doit être beaucoup plus élevé. En fait, les chiffres de 2018 de l'Organisation mondiale de la santé indiquent que 7 millions de personnes meurent chaque année des suites d'une exposition à un environnement pollué.
D'autres études menées par la Columbia Business School confirment qu'il existe un lien direct entre le degré de contamination d'un environnement et les pratiques criminelles observées dans une société donnée.
Dans ces études, ils expliquent que la cause de ce mauvais comportement est le stress et l’anxiété liés au fait de vivre dans un environnement pollué.
Comment l'empêcher?
De nombreuses actions peuvent être menées individuellement, telles que la promotion du recyclage, la gestion responsable des déchets et des déchets, et la sensibilisation des générations futures à l’importance de la protection de notre environnement.
Cependant, étant donné l'ampleur de la pollution, en particulier dans le domaine industriel, il est nécessaire que les gouvernements définissent des directives et des législations claires qui favorisent la réhabilitation de la planète.
Le point positif est que plusieurs pays agissent déjà en conséquence. Par exemple, la Chine a récemment annoncé un plan d’action projeté jusqu’en 2020, selon lequel elle entend incorporer des mesures de contrôle de la consommation de charbon et chercher à la remplacer par d’autres types d’énergie, en plus de promouvoir les transports électriques et hybrides.
Il existe également d'autres initiatives ayant un impact local, telles que la ville de Valence, en Espagne. Dans cette zone, une intervention a été menée pour réduire le trafic et augmenter les espaces verts.
Seulement avec ces transformations, les concentrations de dioxyde d'azote dans la région sont passées de plus de 50 milligrammes par mètre cube, en 2016, à 20 milligrammes par mètre cube, une valeur qui se situe dans la plage recommandée par l'Organisation mondiale de la santé.
